Journée internationale de la fin de l’impunité pour les crimes commis contre les journalistes
Dans beaucoup trop d’endroits dans le monde entier, des journalistes sont tués, torturés, emprisonnés et harcelés pour avoir révélé les agissements de régimes corrompus, nuit aux activités d’organisations terroristes et criminelles, donné la parole à des communautés négligées et lutté contre la désinformation dans l’exercice de leur profession.
Plus de 250 journalistes étaient toujours emprisonnés dans le monde en décembre 2018, en particulier en Turquie, en Chine et en Égypte. Des membres des médias et des blogueurs sont toujours incarcérés dans des pays tels que l’Iran, l’Arabie saoudite, l’Érythrée, le Vietnam, l’Azerbaïdjan, le Mexique et le Nicaragua.
En cette Journée internationale de la fin de l’impunité pour les crimes commis contre les journalistes, les États-Unis se souviennent des journalistes assassinés alors qu’ils faisaient leur travail et appellent à la cessation immédiate de toutes menaces, intimidations et violences contre les journalistes et autres professionnels des médias en raison de leur activité professionnelle. Le principe de l’appui indéfectible de notre pays à la liberté de la presse est consacré par notre constitution, et les États-Unis n’hésiteront pas à dénoncer ceux qui entendent remettre en question cet élément essentiel de toute société saine.
-Déclaration de Morgan Ortagus, porte-parole
Département d’État des États-Unis
Bureau de la porte-parole